le blogadoch2

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lundi 28 octobre 2019

SIDA et malversations des laboratoires pharmaceutiques

Ceux qui me font l'honneur de me lire, savent que j'ai l'indignation facile.

Mais comment rester insensible devant les escroqueries médicales organisées par les grands laboratoires?
Devant l'énormité scandaleuse de ces constatations on en vient à se demander comment cela est possible, comment les organismes officiels laissent faire, comment les médecins acceptent de se rendre complices de telles absurdités, mortelles parfois...
Mais c'est assez simple à organiser pour qui n'a aucun scrupule moral et de gros appétits financiers :

- Dans le monde en décomposition morale qui est le nôtre, les techniques les plus simples et les plus malhonnêtes fonctionnent à tous les coups. Pour les autorisations de mise sur le marché, les fausses statistiques suffisent. On trouve toujours des chercheurs avides, des fonctionnaires peu regardants mais très intéressés.

- La presse médicale, remarquable agent publicitaire pour les nouveaux médicaments, ne vit que par les encarts payés par les laboratoires pour la promotion de leurs produits : un moyen de chantage idéal.

- Les médecins, de leur côté, sont paralysés par les injonctions des metteurs au point des nouveaux médicaments qui bâtissent un "protocole", qui paraît tenir la route, mais qui est très contraignant, car quel praticien s'avisera de faillir au "mode d'emploi" habilement suggéré, et risquer la foudre d'une famille procédurière en cas de pépin sur un patient qui n'aurait pas bénéficié du fameux protocole "obligatoire"?

- La prescription des anti-cholestérol chez des patients dits "à risques" par les laboratoires est ancrée définitivement dans l'esprit et dans la pratique des généralistes. Et pourtant, le cholestérol n'a jamais été reconnu comme le responsable des athéromes (ces dépôts lipidiques dans les artères). On a simplement trouvé du cholestérol dans les athéromes. Une mouche sur le fumier est-elle responsable du fumier? Mais quel médecin s'avisera de ne pas prescrire un anti-cholestérol à un patient décrit comme "à risques". Le parachute est tout trouvé : on prescrit.

- Finalement, dans ce petit monde, les malfaisants sont assurés d'un marché pour leurs poisons, les médecins sont convaincus de bien faire, il ne reste aux patients qu'à payer (ou à faire payer la Sécurité Sociale, celui revient presque au même), ingurgiter des saloperies, enrichir des faisans milliardaires, et généralement mourir plus tôt que prévu.

- Mais n'oublions pas que les patients sont manipulés aussi, et sont certains que leur praticien est de bon conseil.

*

Tout ceci pour vous indiquer l'intérêt que présentent mes articles sur le SIDA, dans lesquels on apprend que le virus HIV n'a jamais été mis en évidence de façon sérieuse, et qu'on n'a jamais retrouvé ce virus chez les patients atteints de ce syndrome d'immuno-dépression. 
Ce qui est quand même bizarre pour une maladie qu'on dit contagieuse... Quel est donc l'agent de transmission, s'il y en a un?

Ces informations étonnantes ou détonnantes, sont très importantes à mes yeux, en tous cas, car je suis particulièrement ému par le malheur qui s'abat sur une famille, sur un couple, lorsque tombe le verdict de la séropositivité d'un des partenaires. Désarroi, chagrin, suspicion d'adultère, problèmes professionnels, mise à l'écart. Nous savons que cela se termine parfois par un suicide.
Tout ça pour rien !

Si vous lisez ces articles vous saurez que le test de séropositivité n'est pas spécifique, qu'il n'indique non pas le SIDA, mais une réaction anormale de l'organisme, à on ne sait trop quoi.
Vous saurez que ce test n'existe pas en Grande-Bretagne, qu'il n'est pas aussi sévère d'un pays à l'autre, grâce à quoi un séropositif peut guérir en traversant une frontière...
Vous apprendrez que — cerise sur le gâteau — les principaux traitements sont basés sur des médicaments déjà refusés pour leur toxicité mortelle, ressortis des tiroirs, et dont l'autorisation de mise sur le marché reste bien bizarre.

Est-ce bien sérieux?

*

J'ai rajouté quelques informations sur le dernier article (de 2017) : Retour sur le SIDA...

*



mercredi 23 octobre 2019

Coup de gueule...

Devant la dégénérescence de notre société chaque jour plus affirmée, devant l'inefficacité de nos "responsables", devant la légèreté des politiciens, plus aptes à enrichir les avocats qu'à préserver nos valeurs ancestrales, devant ces lavages de cerveaux permanents organisés par des traîtres, devant cette fin du Monde civilisé, je ne peux m'empêcher de manifester mon dégoût et ma colère.

Voici, intégralement restitué, le contenu de la lettre que j'adressais, il y a peu à mon ami Philippe, avec qui j'aime commercer de choses sérieuses. Et d'autres beaucoup moins, mais qui permettent de survivre dans ce monde qui se détruit. 


Cher Philippe,

Content que mes tristes réflexions t'aient intéressé.
Je n'ai fait que te transmettre ce que m'a appris René Guénon. Dont il faut lire "La crise du monde moderne", et "Le règne de la quantité et le signe des temps", études tout-à-fait à l'ordre du jour, écrites en... 1927. 
Auparavant, si tu ne l'as pas lue, il vaut mieux prendre connaissance de cette petite introduction :

Mais ne rêvons pas, le Monde originel, pur et empreint de vérité, n'est plus accessible. Il n'est plus, tout simplement.
Nous avons commencé à dégénérer depuis si longtemps... Nous voici parvenus au siècle du Mensonge et de ses copains, tels que l'organisation et l'entretien des conflits, les mafias, les trafics, la magouille, la malfaisance, la malhonnêteté. 

Une période où le faux est si bien présenté qu'on le prend et le prendra pour le vrai. 
De la même façon qu'on croit aujourd'hui le diesel plus polluant que l'essence, et l'électricité vertueuse, qu'on imagine le lait plein de qualités, les médicaments anti-cholestérol utiles, (et le SIDA contagieux, alors qu'on n'a jamais trouvé de virus dans le sang des malades, on se contente d'une réaction non spécifique au SIDA, qu'on appelle séropositivité). 

Sans parler de l'importance donnée par notre société aux pervers sexuels reconnus par la loi, à l'achat d'enfants sans véritables géniteurs, fabriqués dans n'importe quel utérus, aux attributs métalliques accrochés aux narines et ailleurs, aux tatouages "portes de chiottes", aux barbes de trois jours, aux pantalons déchirés, à l'instruction de la théorie du genre à des enfants qui ne sauront même plus si l'on pisse debout ou assis, etc. 

Et que dire du lavage de cerveaux permanent (mensonges encore), qui rend les Français faussement culpabilisés, sans réaction devant l'invasion organisée de notre pays par les soldats sarrasins, qui nous pillaient déjà depuis plus de 1000 ans, et qui continuent avec notre bénédiction. 

On n'a plus qu'une option :  préserver des lambeaux de la grande Tradition, comme des semences à replanter, peut-être, un jour.

Pourquoi cette dernière préoccupation? Difficile de résumer, mais les Grands Principes qui sont à la base de la Tradition, sont éminemment respectables, car indiscutables : ils ne sont pas le résultat d'une réflexion, d'une pensée, d'un calcul. Ils ne sont pas le fait de penseurs ou de philosophes. Ils sont tout simplement issus de constats de faits non-humains. 
Dans un Monde idéal, ce sont eux qui devraient être à la base de la moindre de nos pensées, de notre activité intellectuelle, spirituelle, sociale. Ils sont l'image de l'Ordre métaphysique du Monde. Il serait bien de s'y conformer, ne serait-ce que pour réaliser l'harmonie...

Ce n'est pas le cas. 
On ne peut que constater.
Sans rien faire d'autre, l'Homme est condamné.

Et merde! Buvons un coup! *
D.


*Mon fournisseur italien m'a dégotté une excellente grappa moscate.