Diesel ou essence? Une question qui se pose à tous ceux qui sont sur le point de changer de véhicule. Ou même : électricité pour la voiture destinée à aller au boulot.
Il y a peu le diesel était paré de qualités qui lui sont refusées aujourd'hui, et son impact négatif sur l'environnement est maintenant mis en avant, au point de culpabiliser les futurs acheteurs.
Je ne puis résister à l'envie de vous faire partager ce petit article de l'Automobile Magazine, qui nous réconcilie avec l'essence, lorsqu'elle est utilisée intelligemment.
Voyez plutôt le texte intégral de l'article de Frédéric Vie.
Gorgés de technologies dernier cri, certains petits moteurs essence de récente génération réalisent aujourd’hui des miracles en terme de sobriété, de performance et d’agrément à l’usage. Voici quelques-uns de leurs secrets.
Qu'il soit essence, diesel, hybride ou électrique, chaque type de motorisation à ses avantages et ses inconvénients…
Surcoût à l’achat, kilométrage annuel, coûts d’entretien, agrément, type d’usage envisager avec votre véhicule, niveau d’émissions polluantes, sont donc autant de variables dont il faut tenir compte lors de l’achat…
Mais comme nous l’évoquons souvent dans L’Automobile Magazine, certaines motorisations essence de dernière génération, conjuguent si bien performance et sobriété qu’elles en deviennent d’excellentes alternatives aux diesels.
Systèmes de distribution variable, suralimentation (par turbo ou compresseur), injection directe (et même bi-injection) figurent parmi les solutions miracles pour améliorer les performances énergétiques des moteurs essence. Nés sous la contrainte des normes anti-pollution de plus en plus sévères, la solution consistant à réduire la cylindrée d’un moteur et de faire appel à un turbo pour gagner en puissance (« downsizing »), fait également depuis quelques années de nombreux adeptes, tant chez les constructeurs généralistes (les 3 cylindres turbo chez Renault, PSA, Volkswagen, Audi, Fiat Ford, etc..) que chez les marques sportives (le 4 cylindres suralitmenté de la Porsche 718…).
Autre solution pour marier puissance et faible consommation : les systèmes permettant la désactivation des cylindres dans certaines conditions d’utilisation. Autrefois réservé aux grosses cylindrées (V12 Mercedes, V8 Chrysler, General Motors et Audi), l’ACT (« Active Cylinder Technology »), ce principe de « cylindrée à la demande » se révèle aussi judicieux qu’efficace pour marier agrément de conduite et sobriété. Enfin, dernière avancée technologique en date : les moteurs fonctionnant en cycle Miller « amélioré » comme le 2.0 TFSI Audi apparu sur la berline A4. Conceptualisé sous le nom du « rightsizing » (un moteur dont la cylindrée est adaptée à la catégorie du véhicule), ce 4 cylindres bi-injection au temps d’admission variable et à la pression de suralimentation augmentée fait des miracles en terme de souplesse et de rendement. Enterré un peu trop vite, le moteur essence a donc encore de beaux jours devant lui!
Dans la plupart des situations de conduite et en particulier en ville ou à vitesse stabilisée, disposer de toute la puissance d’un moteur n’est pas nécessaire. D’autant plus que cela augmente inutilement la consommation. D’où l’intérêt du système ACT équipant le 1.4 TSI des Seat Leon et Ateca (150 ch). En désactivant deux de ses quatre cylindres lorsque l’on n’accélère pas trop fort, cet 1.4 TSI à « cylindrée variable » permet alors une économie de carburant d’environ 10%. A tout moment, comme pour exemple lors d’un dépassement imposant une franche accélération, ce moteur « 2 en 1 » peut néanmoins réactiver tous ses cylindres pour offrir toute sa puissance et son couple. Et cela de manière totalement transparente pour le conducteur, le système passant d’un mode à l’autre instantanément, en quelques millisecondes. L’ACT de Seat est très certainement l’une des solutions les plus astucieuses qui soit pour conjuguer performances et sobriété. Et comme, ce système reconnait aussi le profil de la route (via un capteur détectant l’enfoncement de la pédale d’accélérateur), il fonctionne de manière optimale en toutes circonstances.
Frédéric Vie, l'Automobile Magazine juillet 2016.
(Article d'origine vraisemblablement sponsorisé par SEAT).
Il y a peu le diesel était paré de qualités qui lui sont refusées aujourd'hui, et son impact négatif sur l'environnement est maintenant mis en avant, au point de culpabiliser les futurs acheteurs.
Je ne puis résister à l'envie de vous faire partager ce petit article de l'Automobile Magazine, qui nous réconcilie avec l'essence, lorsqu'elle est utilisée intelligemment.
Voyez plutôt le texte intégral de l'article de Frédéric Vie.
Gorgés de technologies dernier cri, certains petits moteurs essence de récente génération réalisent aujourd’hui des miracles en terme de sobriété, de performance et d’agrément à l’usage. Voici quelques-uns de leurs secrets.
Qu'il soit essence, diesel, hybride ou électrique, chaque type de motorisation à ses avantages et ses inconvénients…
Surcoût à l’achat, kilométrage annuel, coûts d’entretien, agrément, type d’usage envisager avec votre véhicule, niveau d’émissions polluantes, sont donc autant de variables dont il faut tenir compte lors de l’achat…
Mais comme nous l’évoquons souvent dans L’Automobile Magazine, certaines motorisations essence de dernière génération, conjuguent si bien performance et sobriété qu’elles en deviennent d’excellentes alternatives aux diesels.
Systèmes de distribution variable, suralimentation (par turbo ou compresseur), injection directe (et même bi-injection) figurent parmi les solutions miracles pour améliorer les performances énergétiques des moteurs essence. Nés sous la contrainte des normes anti-pollution de plus en plus sévères, la solution consistant à réduire la cylindrée d’un moteur et de faire appel à un turbo pour gagner en puissance (« downsizing »), fait également depuis quelques années de nombreux adeptes, tant chez les constructeurs généralistes (les 3 cylindres turbo chez Renault, PSA, Volkswagen, Audi, Fiat Ford, etc..) que chez les marques sportives (le 4 cylindres suralitmenté de la Porsche 718…).
Autre solution pour marier puissance et faible consommation : les systèmes permettant la désactivation des cylindres dans certaines conditions d’utilisation. Autrefois réservé aux grosses cylindrées (V12 Mercedes, V8 Chrysler, General Motors et Audi), l’ACT (« Active Cylinder Technology »), ce principe de « cylindrée à la demande » se révèle aussi judicieux qu’efficace pour marier agrément de conduite et sobriété. Enfin, dernière avancée technologique en date : les moteurs fonctionnant en cycle Miller « amélioré » comme le 2.0 TFSI Audi apparu sur la berline A4. Conceptualisé sous le nom du « rightsizing » (un moteur dont la cylindrée est adaptée à la catégorie du véhicule), ce 4 cylindres bi-injection au temps d’admission variable et à la pression de suralimentation augmentée fait des miracles en terme de souplesse et de rendement. Enterré un peu trop vite, le moteur essence a donc encore de beaux jours devant lui!
La Seat Ibiza fait la pige aux GTI grâce à son nouveau moteur (Photo Automobile Magazine)
Frédéric Vie, l'Automobile Magazine juillet 2016.
(Article d'origine vraisemblablement sponsorisé par SEAT).
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