le blogadoch2

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samedi 28 octobre 2017

Il vaut mieux savoir ce que l'on dit...

Dans les échanges oraux ou écrits que nous partageons avec nos semblables, il arrive souvent que nous utilisions des expressions, des formules, des mots que l'on croit bien choisis, mais qui sont en réalité de traitres amis.
La recherche permet généralement d'en retrouver l'origine, leur sens exact, un sens qui n'est pas toujours celui que l'on croit dire, une connotation parfois bien différente.
Voici un premier exemple, dont je ne garantis pas la totale véracité. Mais comme on dit de l'autre côté des Alpes :
— "Se non e vero, e ben trovato!

Attardons-nous donc sur l'expression "retourner sa veste", souvent destinée à un personnage politique à qui on reproche d'avoir changé d'opinion, de convictions, de parti. Littéralement, cela ne veut pas dire grand chose. On ne peut, à la rigueur, qu'imaginer une veste particulière utilisée comme un uniforme, que l'on cacherait ensuite pour ne plus montrer son appartenance.
Certains affirment que cette expression date des conséquences de la Révolution de 1789. Lorsque le roi fut exécuté et les aristocrates déchus, poursuivis, menacés, il était plus prudent pour eux de paraître en accord avec le peuple, et de masquer tous les symboles de la royauté qu'ils montraient auparavant avec déférence et fierté, mais qui auraient pu les désigner désormais à la vindicte populaire.
Sur leurs vêtements, et dans leurs riches demeures, ces signes "infamants" furent vite cachés. Une pièce du mobilier fut cependant difficile à modifier, c'était la plaque de fonte coulée qui se trouvait apposée au fond du foyer de la cheminée. Cette plaque montrait souvent des scènes glorieuses ornementées de fleurs de lys, et d'autres signes de la royauté.


 


Leurs propriétaires se hâtèrent de retourner ces plaques, pour mettre le côté sculpté côté mur, ne laissant voir qu'une surface de fonte unie.
Cette plaque de fonte pouvait s'appeler: taque, contre-feux, contre-cœur, platine. Et aussi... jaquette*!
On comprend mieux alors l'expression "retourner sa jaquette", devenue plus tard, par ignorance "retourner sa veste", ce qui ne veut plus rien dire.

De leur côté, les fondeurs se plièrent aux nouvelles idées, et dans un premier temps, détruisirent sur les moules les parties des sculptures pouvant prêter à la critique. C'est ainsi que l'on peut retrouver encore aujourd'hui, chez les antiquaires, des jaquettes grossièrement mutilées, dont les moules datent de cette époque terriblement troublée.



*Sans doute par analogie avec la protection en fonte d'une partie du canon, appelée ainsi.

mardi 10 octobre 2017

Retour sur SIDA pas contagieux : vrai ou faux ?


Octobre 2019

Je ne peux m'empêcher de revenir sur le sujet scandaleux des mensonges médicaux, après être tombé sur cette vidéo : 

https://www.youtube.com/watch?v=XGWDbSDucCc

qui corrobore mon opinion. Le docteur de Havren que je cite plus bas n'est pas seul à montrer le montage de cette escroquerie mortelle autour du SIDA.
Faire croire à des patients présentant une immunité déficiente, qu'ils sont atteints du SIDA, parce que leur test de séropositivité est positif, et leur prescrire des médicaments qui rapportent gros aux laboratoires, mais qui sont mortels.
Ces chercheurs honnêtes nous expliquent que le test de séropositivité n'est pas spécifique au SIDA : il indique simplement une réaction à la présence d'une protéine anormale.
Si vous êtes intéressé, relisez  mon article, et revoyez ces vidéos.

*
En 2017, j'écrivais ceci :

À la suite de la publication de mon article sur la négation par certains professionnels de santé, de l'existence du virus du SIDA, je constate l'absence totale de commentaires.
(Voir aussi les opinions d'autres chercheurs, en bas de page).


Deux explications :

- personne n'a lu cet article, ou écouté l'étonnante vidéo du docteur de Havren;
- ceux qui on lu et écouté n'y croient pas. Dans ce cas, deux possibilités :
             - ils sont conditionnés par la désinformation organisée par les laboratoires-truands et les médias maîtres-chanteurs;
             - il s'agit d'un canular ou d'une théorie du complot, et tout est faux là-dedans.


Chacun est libre de penser ce qu'il veut (et c'est bien heureux).



Personnellement, ému par le sort peu enviable des personnes qui apprennent une prétendue séro-positivité, chargée de soupçons et porteuse de désespoir, je me pose la question de savoir qui me prend pour une andouille, dans cette affaire.



Aux inquiétudes d'un ami, déjà suffisamment frappé par d'autres maladies, qui s'étonnait de cette information, je répondais la lettre suivante.

Je vous la donne à lire, elle vaut ce qu'elle vaut...

*


Cher René,

Tes commentaires sur cette nouvelle concernant le SIDA ne me surprennent pas.
Effectivement, c'est horriblement scandaleux, mais je ne peux nier qu'il se pourrait que l'ont soit en présence d'une "théorie du complot"(*).

Cependant, ce docteur de Havren dit bien qu'on n'a jamais retrouvé de virus du SIDA chez les gens atteints, et il n'a pas été contredit par Montagnié, le prétendu "découvreur" du virus.
Quand même curieux! Ce serait la seule maladie infectieuse et contagieuse qui ne permet pas de retrouver le germe causal chez les malades?

Si les homos ou les drogués sont atteints, d'après le professeur c'est parce qu'ils ont, dans chaque groupe, les mêmes habitudes de vie. Lesquelles permettraient à ce syndrome de déficience immunitaire (syndrome = ensemble de symptômes) de se développer. 

Le nom lui-même est en faveur d'une théorie non-virale : "syndrome d'immuno-déficience acquise". Ce qui se traduit par "apparition d'un ensemble de symptômes montrant une déficience des défenses immunitaires". Cette définition ne parle pas d'infection, de germe quelconque.


Souviens-toi aussi qu'il explique comment les hémophiles sont déclarés séro-positifs (positifs à quoi, les savants ne savent pas, mais ils prétendent que c'est une réaction de l'organisme au virus du SIDA). Mais en réalité, ce serait à cause de la masse importante de protéines (transfusions répétées), qu'on leur injecte au cours de leur vie.

Pour le reste, la puissance de l'argent rend les hommes véreux faibles dans leurs décisions, et permet aux malfaisants d'étendre leur pouvoir sur des structures que l'on pensait à l'abri de la prévarication (Office Mondial de la Santé, et autres organismes qui devraient logiquement échapper à ces pratiques).
Les chercheurs sont "achetés", comme les autres. L'exemple ancien des très nombreuses études scientifiques favorables à la cigarette aux USA est bien connu. Celui concernant aujourd'hui les pesticides chez nous est de la même veine. De même que les rapports truqués des labos pour obtenir la Mise sur le Marché de leurs poisons, ou encore les mesures mensongères des constructeurs de voitures...

Un vieil ami avait eu comme copains d'études médicales deux confrères qui, dans les années 50, avaient été mandatés par une source thermale pour faire un rapport sur les vertus de son eau. La demande était nette : il fallait que ce soit positif. Quelque temps plus tard, tout jeunes praticiens, ils roulaient tous deux en voitures américaines.

Autre scandale : la nécessité de la prescription de produits anti-cholestérol est remise en cause par de nombreux thérapeutes. En effet, on trouve du cholestérol dans les athéromes(**), mais, comme dit l'autre, "si on voit des mouches sur du fumier, on ne va pas dire qu'elles ont créé le fumier". Il semble que toute prescription anti-cholestérol soit totalement inutile. Cependant ce médicament fait gagner 6 ou 7 milliards par an aux principaux labos. Tu penses bien qu'ils font tout pour qu'on ne le répète pas.


Mieux, aux USA, ils ont demandé une étude à un groupe de médecins et chercheurs véreux, pour qu'ils revoient à la baisse le seuil prétendu dangereux du dosage du cholestérol dans le sang. En abaissant le chiffre de 10%, et en le faisant largement savoir (publications par des médias confortablement payés par la publicité des labos), ils ont gagné d'un coup 12 millions de clients nouveaux. On n'arrête pas le progrès!

Notre Monde est devenu si malhonnête, et l'appât du gain l'a tellement contaminé jusqu'au plus profond de ses organes, que ce scandale lié aux médications anti-SIDA inutiles (et par surcroît, mortelles), ne serait pas si étonnant.

Une des conséquences les plus curieuses de cette histoire, si elle est vraie, est la remise en cause des responsabilités dans l'affaire dite "du sang contaminé". On pourrait alors se poser un nouveau chapelet de questions. Le sang était-il vraiment contaminé? Avait-on à l'époque trouvé des virus dans le sang? et chez les contaminés? Etc.

Conclusion : où trouver la bonne information?

Gardons notre sérénité, celle que j'appelle "le bonheur de l'esprit". Car l'autre bonheur, "il est où?" comme chante l'autre...

Amitiés,
D.

(*) Les Théories du complot sont généralement le fait de personnes qui voient des machinations diaboliques dans certains événements de notre époque, comme par exemple : les traînées laissées par les jets qui seraient des produits chimiques; les tours jumelles auraient été dynamitées par la CIA ou autre; personne ne serait jamais allé sur la Lune, on ne nous a montré que des photos de laboratoire; le bombardement de Pearl Harbor serait le fait des américains eux-mêmes pour se donner bonne conscience avant d'envoyer la bombe atomique sur le Japon, etc..


(**) Athérome : dépôt lipidique sur la surface interne de la paroi des artères.


*

Quelques opinions de scientifiques qui vont dans le même sens que le discours du docteur de Havren et les spécialistes interrogés dans la dernière vidéo :



 "Le VIH ne provoque pas le SIDA... Ce que personne ne comprend, c'est que tous les rapports écrits par Gallo sur le VIH ont été déclarés frauduleux...L'hypothèse du VIH était basée sur ces rapports. "Dr Peter Duesberg Professeur de Biologie Moléculaire de renommée mondiale, Université de Californie, Berkeley.Académie Nationale des Sciences.

"Pour moi, le fait que des scientifiques se taisent face à un tel doute équivaut à de la négligence criminelle." Dr Charles A. Thomas, Jr. Biologiste à Harvard.

"Je vous le demande, quel est ce genre de scientifiques qui continuent à défendre une hypothèse qui ne réussit pas à expliquer, qui ne parvient pas à prédire ? ." Harvey Bialy Editeur en Biotechnologie.

"Les scientifiques ne sont pas là pour croire, mais pour avoir des preuves... Il n'y a aucune preuve consistante (en référence au VIH comme cause du SIDA). "Kary Mullis Prix Nobel.

"L'effet de la duperie statistique du Centre pour le Contrôle des Maladies est de sous-estimer d'au moins 50% les consommateurs de drogue par voie intraveineuse en tant que groupe à risque, ce qui a pour résultat d'interpréter le SIDA comme une maladie vénérienne, plutôt que comme une maladie provoquée par la drogue. " John Lauritsen et Hank Wilson - Auteurs de "Death Rush", Pagan Press.

"Le fait est que toute cette affaire SIDA/hétérosexualité est un canular." Gordon Stewart, Epidémiologiste britannique, Organisation Mondiale de la Santé.

"J'ai essayé de démontrer que le HTLV-1 n'était pas impliqué dans le SIDA, mais aucun journaliste n'a accepté de publier ça." Dr Joseph Sonnabend, Fondateur Fondation Médicale pour le SIDA.

"La présence de ce qu'ils appellent VIH dans le cadre de la maladie n'est pas plus une preuve qu'il en soit la cause que la présence de mouches dans les ordures n'est une preuve que les mouches soient la cause des ordures." T. C. Fry Auteur et éditeur.





dimanche 1 octobre 2017

Les vicissitudes de la félicité, ou les moutons de la bien-aimée...

Il se revoyait raccrochant lentement le téléphone, un demi-sourire sur les lèvres, un feu d’artifice dans la poitrine. Le soleil était devenu subitement plus chaud, le ciel plus clair, l’air plus léger.
La joie et l’attente s’étaient conjugués en une impatience difficile à maîtriser. Jusqu’au soir... il devait attendre jusqu’au soir, après la nuit tombée.
La belle qu’il courtisait presque sans espoir depuis des semaines, venait de lui annoncer qu’elle l’attendrait en début de nuit.
— Mais surtout, passez par le petit portail du jardin de derrière, et à la nuit noire. Je ne veux pas faire jaser...

Il revivait ces instants et se rappelait mot pour mot la phrase si prometteuse. Et les souvenirs affluaient, dans un flot d’émotions qu’il croyait oubliées, alors qu’il racontait son aventure à ses amis réunis autour d’un vieux cognac...
— J’étais jeune à l’époque, et plein de feu. L’attrait que je ressentais pour cette belle brune n’était pas du jour, car dès la première fois que je l’avais vue, à son arrivée dans le quartier, je n’avais pu, comme sans doute la plupart des autres jeunes hommes, ne pas ressentir d’émotion. Sans être belle, elle montrait beaucoup de grâce. Ses gestes étaient comme des démonstrations de la féminité qui débordait de sa personne aux volumes parfaits. Sa voix, un peu rauque laissait imaginer la douceur qu’elle pourrait cependant exprimer dans le sussurement de tendres aveux. Ses lèvres délicates et parfaitement dessinées promettaient le paradis...

— Oui, oui, tu l’avais dans la peau, quoi! Et alors, ce rendez-vous?
— Les amis, pour commencer je vous dis le meilleur. Il faut apprécier, faire fonctionner votre imagination... C’est vrai que c’était une femme très désirable...

La fin de la journée s’étirait en longueur : une journée d’au moins 40 heures! Et ça, ça n’arrive pas souvent, croyez moi!
Le soir venu, je me glissai furtivement dans son jardinet puis dans ses bras :
— Que tu sens bon! Ton... mari?
— Ne t’inquiètes pas, il passe la nuit à la ville, il n’avait pas pu tout faire dans la journée. Nous serons tranquilles.
Ses caresses ne se comparaient à rien de ce que j’avais connu, ses baisers étaient de feu, son corps tout entier une pile électrique, une anguille, un fondant. De ses lèvres si douces coulait le miel de ses mots d’amour...

— Bon, bon, on a compris! Et alors?
— Ne soyez pas impatients, il faut bien que j’insiste sur le bon, car il n’allait pas durer aussi longtemps que nous l’espérions.

En effet, soudain, nous entendîmes un bruit de moteur dans le jardin et une porte de voiture claquer. Vous imaginez dans quelle émotion je fus plongé! Encore dans le sucre de l’amour, je perdis un instant conscience de ce qui arrivait. Après quelques secondes de sidération, je dus me rendre à l’évidence : j’étais, nous étions perdus!
— Cache-toi sous le lit, vite, il n’y a que cette solution! Vite!

Mince, tu as pas eu de pot!

Ce qui fut dit fut fait, et agrippant mes vêtements je me jette sous le lit. Me voici allongé sur le froid carrelage, une douche glacée dans le corps, une immense inquiétude dans le cœur. Et dans ma tête, tout un tas de pensées confuses : comment cela va-t-il se terminer? Va-t-il se douter de quelque chose? Et moi, comment sortir de ce guêpier? Pour l’instant, surtout ne pas faire de bruit, ne pas se racler la gorge, ne pas éternuer, avec toute cette poussière...
Parce que de la poussière, il y en avait! Des moutons et des moutons, des bergeries entières, je vous le dis. Au-dessus de moi, les ressorts du sommier étaient comme revêtus de duvet, et décorés de guirlandes de toiles d’araignées, à croire que le lit datait au moins du Moyen-Âge!
Pour l'instant, je voyais avec angoisse passer et repasser à quelques décimètres de mon visage, les pieds de l'autre. Et j'allais même jusqu'à craindre que ces pieds ne finissent par m'apercevoir... 

— Et tu as passé la nuit là, ou tu as pu te sauver?
— Attendez, les enfants, la nuit commençait à peine...

J’ai dû écouter ma dulcinée faire sa comédie à son régulier, qui, de son côté a raconté sa journée de travail, si chargée qu’il avait bien cru être obligé de passer la nuit à la ville. Et puis un rendez-vous avait été annulé au dernier moment, et tout ça...
Dans mon coin, je sus que je ne pourrai rien tenter et dus me résigner. Je calai mes vêtements sous ma tête et me recroquevillai, craignant toujours d’éternuer, à cause du froid ou à cause de la poussière.
La nuit s’annonçait difficile...
À un certain moment, j’aperçus du coin de l’œil le pan de la couverture bouger, du côté de la ruelle, et vis apparaître une petite main, la main qui avait été si douce quelques instants plus tôt. J’étendis mon bras pour la saisir, et nous continuâmes un semblant de flirt dans une longue caresse digitale...

— Faute de mieux!
— Comme tu dis, faute de mieux. 

Je parvins à ne pas éternuer, à ne pas tousser, et je me demande même comment j’ai pu réussir à respirer sans que le monde entier ne m’entende. Mais je peux vous dire que la nuit fut la plus longue de ma vie.
Au matin, le cocu repartit à la chasse aux clients, et je pus m’extraire, engourdi et glacé de mon semblant d'abri, de cette cache absurde, ridicule, honteuse... Jusque là, je pensais que le fait de chercher refuge sous la couche de sa bien-aimée était réservé aux scénarios de vaudevilles. Mais non, c’est possible aussi dans la vraie vie, maintenant je le savais.

— Eh ben, mon pauvre ami, quelle histoire! Ce ne devait pas être amusant! Nous te plaignons...
— Mais, non, pourquoi? Au contraire j’ai eu de la chance! Une belle, glorieuse, grande chance!
— Tu te moques de nous, là! Une grande chance? D’être interrompu dans tes ébats? Et par le mari, en plus? De passer une nuit sur le froid carrelage? Arrête de dire des bêtises! Mais écoutez-le : de la chance, qu’il dit, de la chance!
— Je le répète, j’ai eu de la chance : la chance qu’elle fasse l’amour bien mieux que le ménage!