Ceux qui me font l'honneur de me lire, savent que j'ai l'indignation facile.
Mais comment rester insensible devant les escroqueries médicales organisées par les grands laboratoires?
Devant l'énormité scandaleuse de ces constatations on en vient à se demander comment cela est possible, comment les organismes officiels laissent faire, comment les médecins acceptent de se rendre complices de telles absurdités, mortelles parfois...
Mais c'est assez simple à organiser pour qui n'a aucun scrupule moral et de gros appétits financiers :
- Dans le monde en décomposition morale qui est le nôtre, les techniques les plus simples et les plus malhonnêtes fonctionnent à tous les coups. Pour les autorisations de mise sur le marché, les fausses statistiques suffisent. On trouve toujours des chercheurs avides, des fonctionnaires peu regardants mais très intéressés.
- La presse médicale, remarquable agent publicitaire pour les nouveaux médicaments, ne vit que par les encarts payés par les laboratoires pour la promotion de leurs produits : un moyen de chantage idéal.
- Les médecins, de leur côté, sont paralysés par les injonctions des metteurs au point des nouveaux médicaments qui bâtissent un "protocole", qui paraît tenir la route, mais qui est très contraignant, car quel praticien s'avisera de faillir au "mode d'emploi" habilement suggéré, et risquer la foudre d'une famille procédurière en cas de pépin sur un patient qui n'aurait pas bénéficié du fameux protocole "obligatoire"?
- La prescription des anti-cholestérol chez des patients dits "à risques" par les laboratoires est ancrée définitivement dans l'esprit et dans la pratique des généralistes. Et pourtant, le cholestérol n'a jamais été reconnu comme le responsable des athéromes (ces dépôts lipidiques dans les artères). On a simplement trouvé du cholestérol dans les athéromes. Une mouche sur le fumier est-elle responsable du fumier? Mais quel médecin s'avisera de ne pas prescrire un anti-cholestérol à un patient décrit comme "à risques". Le parachute est tout trouvé : on prescrit.
- Finalement, dans ce petit monde, les malfaisants sont assurés d'un marché pour leurs poisons, les médecins sont convaincus de bien faire, il ne reste aux patients qu'à payer (ou à faire payer la Sécurité Sociale, celui revient presque au même), ingurgiter des saloperies, enrichir des faisans milliardaires, et généralement mourir plus tôt que prévu.
- Mais n'oublions pas que les patients sont manipulés aussi, et sont certains que leur praticien est de bon conseil.
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Tout ceci pour vous indiquer l'intérêt que présentent mes articles sur le SIDA, dans lesquels on apprend que le virus HIV n'a jamais été mis en évidence de façon sérieuse, et qu'on n'a jamais retrouvé ce virus chez les patients atteints de ce syndrome d'immuno-dépression.
Ce qui est quand même bizarre pour une maladie qu'on dit contagieuse... Quel est donc l'agent de transmission, s'il y en a un?
Ces informations étonnantes ou détonnantes, sont très importantes à mes yeux, en tous cas, car je suis particulièrement ému par le malheur qui s'abat sur une famille, sur un couple, lorsque tombe le verdict de la séropositivité d'un des partenaires. Désarroi, chagrin, suspicion d'adultère, problèmes professionnels, mise à l'écart. Nous savons que cela se termine parfois par un suicide.
Tout ça pour rien !
Si vous lisez ces articles vous saurez que le test de séropositivité n'est pas spécifique, qu'il n'indique non pas le SIDA, mais une réaction anormale de l'organisme, à on ne sait trop quoi.
Vous saurez que ce test n'existe pas en Grande-Bretagne, qu'il n'est pas aussi sévère d'un pays à l'autre, grâce à quoi un séropositif peut guérir en traversant une frontière...
Vous apprendrez que — cerise sur le gâteau — les principaux traitements sont basés sur des médicaments déjà refusés pour leur toxicité mortelle, ressortis des tiroirs, et dont l'autorisation de mise sur le marché reste bien bizarre.
Est-ce bien sérieux?
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J'ai rajouté quelques informations sur le dernier article (de 2017) : Retour sur le SIDA...
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