le blogadoch2

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vendredi 28 juillet 2017

Le SIDA ne serait pas contagieux...

La période que nous traversons, par les torrents d'informations qu'elle déverse sur nous, se prête fort bien à la désinformation, et aussi à toutes sortes de "théories du complot". C'est un fait.
Cependant, la duplicité de certains, le machiavélisme et la cupidité de la plupart des grandes puissances commerciales, nous permettent d'assister à des comportements tellement outranciers dans l'immoralité que nous sommes contraints de nous intéresser à des informations comme celle qui suit.
Le passé récent nous a montré que les informations que nous recevons sont parfois dictées, par des groupes puissants, aux médias qui vivent de leurs encarts publicitaires, et ne peuvent refuser les "ordres".

Si la version développée ici sur les tromperies liées à la maladie du SIDA, est exacte, force est de constater que cette fois, certains malfaisants ont fait fort...
Que dire des drames causés par l'annonce terrible d'une séropositivité? La liste serait longue des conséquences désastreuses et souvent dramatiques d'une telle annonce.


Mais de quoi s'agit-il? 
Dans une vidéo de 55 minutes, un personnage très posé, à l'accent sincère, le docteur Etienne de Havren, un microbiologiste de renom, développe la thèse selon laquelle le SIDA ne serait pas une maladie virale  :
Il est difficile de résumer l'argumentation extrêmement poussée qui nous est proposée ici. Cependant, pour ceux qui voudraient avoir une petite idée du contenu de cet exposé, je propose quelques lignes de ce que j'ai retenu. Que les spécialistes pardonnent mes erreurs éventuelles et se rapprochent de la vidéo pour les précisions !

1.- Contrairement aux affirmations des chercheurs, on n'a jamais identifié de virus du SIDA. Le VIH n'existe pas.
Le bel oursin en couleurs muni de petits champignons qui a été proposé comme une illustration de ce prétendu virus vient d'une culture de laboratoire assez complexe.
On n'a jamais trouvé de virus du SIDA dans les organismes des malades, ce qui est quand même curieux.

2.- Le SIDA n'est pas contagieux. Ce qui semble évident s'il ne s'agit pas d'une maladie infectieuse. 
Les groupes à risques sont connus : les homosexuels et les drogués. Ils partagent des conditions de vie qui semblent les exposer à certaines pathogénies particulières, dont un Syndrome d'Immuno-Déficience Acquise, le SIDA. Il s'agit donc d'un ensemble de symptômes toujours les mêmes, qui constituent la maladie elle-même.
En Afrique, le syndrome en question est lié à la précarité des conditions d'alimentation et d'hygiène.

3.- La séropositivité n'est pas spécifique, donc ne signifie rien de précis.
Elle traduit une réaction de l'organisme à une agression, une agression que l'on n'a jamais liée à un virus en particulier. Les résultats du test montrent que l'organisme indique qu'il réagit mais ne précisent pas à quoi il réagit. 
Par exemple chez les hémophiles, sujets à de nombreuses transfusions, c'est la masse de protéines étrangères reçue qui peut déclencher la positivité du test.

4.- Les traitements mis en œuvre à très haute dose, sont violents et très iatrogènes  : ils perturbent l'organisme déjà affaibli. 
Les améliorations observées à la suite de ces traitements ne concerneraient que certaines pathogénies secondaires, qui elles semblent diminuer. 

D'autres aspects de la question sont exposés également dans cette longue vidéo.

Lorsqu'on en vient aux responsables de cette situation ubuesque : une maladie prétendue infectieuse et contagieuse sans cause microbiologique, le docteur de Havren nous explique comment de grands groupes financiers liés aux laboratoires mondiaux ont pu influencer les organismes de la santé, ou des instances gouvernementales à l'occasion d'élections coûteuses généreusement sponsorisées, pour faire admettre leurs thèses et ainsi vendre leurs produits sur un marché d'ampleur planétaire.
Les médias ne sont pas épargnés, qui sont supposés obéir aux ordres des grands demandeurs de publicités que sont les laboratoires pharmaceutiques.
Coluche disait déjà, et on peut le comprendre de différentes façons :
Le SIDA est une maladie "médiatique".

Voilà, en gros, ce que j'ai retenu de la vision de cette vidéo. Je dois vous avouer que, malgré le risque d'avoir reçu une nouvelle désinformation, malgré la menace d'une nouvelle théorie du complot, j'ai été assez troublé. 
Si cette thèse est véridique, j'ai une pensée toute particulière pour tous les malheureux qui ont vu leur vie de famille brisée, leur position professionnelle menacée. Il y a eu des cas de suicide, de déchéance, des vies bouleversées par la culpabilité et le remords.
Et ça, on ne pourrait pas le pardonner.
 

dimanche 16 juillet 2017

Le Ciel va plus vite que le Soleil !


Ce titre, un peu provocateur, va nous permettre de mettre en évidence quelques secrets de notre univers, quelques uns de ces phénomènes dont nous ne faisons pas cas habituellement, car ils n’influent pas directement sur notre vie de tous les jours.

Ces révélations vont expliquer de façon simple le déroulement du calendrier annuel, en montrant comment le temps et l’espace se sont accordés pour l’éternité, en devenant complices, sinon proches parents…

Généralités
Il est commode, pour l’homme qui observe le ciel, de faire comme si la Terre était immobile et que le Ciel et les astres qu’il abrite tournent autour de lui.
Depuis Galilée, nous savons que c’est faux, et que c’est la Terre qui tourne autour du soleil. Quoi qu'il en soit, nous voyons le soleil et les autres astres en des endroits du ciel variables. Mais avec l’impression que nous sommes le centre immobile du Monde, nous les observons parfois levants, ou bien près du méridien, ou encore couchants, prêts à disparaître derrière l’horizon.
Mais continuons à faire comme si…

Les différents types d’astres
Pour mieux comprendre ce qui suit, il est nécessaire de classer les astres en fonction de leur comportement.
- Nous connaissons bien le rythme du Soleil, qui réalise des cycles de 24 heures. On parle de rythme circadien, et chaque période de 24 heures ainsi définie porte le nom de nycthémère. L’utilisation de ce mot évite une confusion entre le jour (du calendrier), et le même mot pour indiquer la période de la journée pendant laquelle nous bénéficions de la lumière solaire, comme dans la formule suivante : « en hiver, les jours sont plus courts ».
Le soleil se « déplace » dans une zone céleste inchangée, une ceinture de 360° appelée écliptique. Dans cette zone se trouvent également des étoiles dont la position est fixe par rapport à l’écliptique, un peu comme si elles indiquaient les crans de la ceinture.

- La Lune nous est familière également, avec ses phases bien connues des jardiniers, des marins et des bucherons. Nous la retrouvons à chaque nycthémère, sauf pendant la période dite Nouvelle Lune. Son aspect changeant est de nouveau le même après un cycle de 28 jours, le cycle sélénien.

- Les Étoiles, elles, semblent épinglées sur la voûte céleste. Elles gardent les mêmes dispositions avec leurs voisines, au point que depuis la nuit des temps, on a donné des noms à leurs groupements les plus caractéristiques : les constellations. Ce sont des ensembles d’étoiles assez proches entre elles qui dessinent par leur disposition, des formes géométriques, où les anciens ont parfois cru reconnaître des silhouettes animales, D’où leurs noms, plus poétiques que réalistes.

L’observation du ciel
Vous êtes-vous demandé pourquoi le ciel nocturne n’est pas le même tout au long de l’année, pourquoi certaines constellations sont visibles en hiver, et d’autres uniquement en été ?
En voici l’explication : si le soleil me dit par exemple qu’il est 23 heures, et que j’aligne — toujours vers le Sud — deux repères avec une étoile, le lendemain, à la même heure, je verrai cette étoile un peu à droite de mon alignement de la veille.
Les astronomes nous diront qu’elle est passée exactement dans l’alignement à 22 heures 56, soit avec 4 minutes d’avance. Le cycle quotidien des étoiles est donc de 23 heures 56 et non de 24 heures. C’est pourquoi, les observatoires astronomiques sont équipés d’horloges spéciales, qui jalonnent le temps en périodes quotidiennes de 23 heures 56 solaires.

Ainsi, en regardant vers le Sud plusieurs jours d’affilée, on s’aperçoit que les mêmes étoiles sont visibles chaque nuit, mais une observation soutenue va nous montrer qu’elles se déplacent légèrement toutes ensemble, avec le fond du ciel. D’une nuit à la suivante, elles nous apparaissent un peu plus à l’Ouest, à la même heure.

Vous aurez compris maintenant le titre de cet article. En effet, si les étoiles (avec elles la voûte céleste observée vers le Sud, telle que nous l’appréhendons) se déplacent chaque jour vers l’Ouest lors d’une observation faite à partir du même endroit terrestre, et à la même heure, c’est qu’elles vont plus vite que le soleil. Car c’est le soleil qui donne l’heure, rappelez-vous !

Nota 1 : Si l’on regarde vers le Nord, on aura vite fait de repérer l’étoile Polaire, pour s’apercevoir qu’elle ne change pas d’emplacement, contrairement aux constellations qui l’entourent, qui « tournent » autour d’elle avec le temps qui passe.
Nota 2 : Je n’ai pas parlé des planètes, enfants chéris des astrologues, ces « astres errants »,  comme disaient les Grecs, car leurs trajectoires sont irrégulières.


Conséquences de cette différence de vitesse 
- Il est facile de calculer que ce retard du soleil de 4 minutes par jour deviendra 24 heures au bout d’un an, soit un nycthémère entier.
L’année solaire devrait compter environ 365, 2422 jours, et non pas 365. La constatation du retard pris par le Soleil, a conduit les hommes à faire intervenir, environ tous les 4 ans, des années dites bissextiles, allongées d’une journée*, pour compenser ce retard. 

- Une conséquence évidente de ce décalage est que — si on pouvait les observer de jour — on constaterait que les étoiles voisines du soleil ne sont pas les mêmes au cours de l’année. En effet, pendant cette période annuelle, le soleil est dépassé successivement par toutes les étoiles qui se trouvent près de sa trajectoire écliptique, pour se retrouver dans la même compagnie un an plus tard.
Donc, les étoiles qui accompagnent le Soleil changent avec le temps qui passe, et ceci nous pouvons le constater avec seulement 12 heures d’écart. Ainsi, si je suis le 20 décembre au milieu de la nuit, je peux voir la constellation d’Orion. Laquelle ne sera plus visible au milieu de la nuit après quelques mois, à cause du décalage entre étoiles et Soleil : cette constellation aura continué à avancer l'heure de son passage.
Déjà au bout d’un mois, le soleil aura subi un décalage de 30 ° par rapport au fond du ciel, donc par rapport à l’écliptique (cette ceinture garnie d’étoiles qu’il parcourt), puisqu’après 12 mois il se retrouvera à son point de départ, 360° plus tard. Il sera à nouveau auprès des mêmes étoiles qu’un an auparavant. Donc, chaque mois, le soleil sera dans un secteur différent de l’écliptique, un secteur de 30°.
Il aura franchi ainsi 12 secteurs de 30° chacun au cours de l’année.

Parvenu à ce point de l’exposé, nous découvrons une conséquence extraordinaire de cette différence de rythme entre le soleil et les étoiles : si le Soleil est chaque jour de l’année dans un secteur de l’écliptique différent — et bien sûr, de la même façon chaque année — , alors en examinant dans quel endroit de sa course se trouve le soleil, on peut connaître la date ! Si le Soleil se trouve en compagnie de telles étoiles, c’est qu’il est telle date ! La conclusion est fabuleuse : l’espace est devenu un index du temps !
Je ne sais pas si vous appréciez comme moi la magie de ce phénomène, mais avouez que pouvoir constater l’existence d’une complicité totale entre  l’espace et le temps — ces deux "paramètres" singuliers — est une chose stupéfiante !

L’astrolabe, instrument magique !
- Des astronomes, des savants, des religieux peut-être, ont utilisé ces observations pour construire l’astrolabe, un appareil étonnant, qui permet entre autres fonctions, de connaître la position de certains astres, de quelque point du Monde que ce soit, et ceci à n’importe quelle heure du nycthémère. Il suffit de programmer la date, l’heure, et la longitude du lieu.
Sur leur instrument, les astrolabistes ont dessiné un cercle représentant les 12 cases de l’écliptique. Pour se rendre plus proche des coutumes de l’époque, ils ont donné à ces cases, les noms des 12 constellations de l’écliptique, qu’on appelle alors les signes du Zodiaque**.


Astrolabe classique.

On y distingue le tympan, portant les 24 heures et les lignes d'horizon selon la latitude, l’araignée, mobile, graduée des 12 signes du Zodiaque (montrant aussi la position des étoiles les plus prestigieuses aux extrémités des pointes), et la réglette, mobile également,
permettant de programmer la date et l'heure.


Astrolabe médical Lavier - Production D.C. Ottavi

L’araignée ne comporte que les 4 étoiles désignées par la médecine traditionnelle pour représenter les 4 Éléments symboliques : Bois, Feu, Métal, et Eau. Le cinquième, la Terre, étant l’Élément de référence, donc stable, ne figure pas ici parmi les variables.


Chacune de ces cases représente donc en unité d’espace 30°, et en unité de temps 1 mois environ, composé de 3 décans. Connaissant l’heure solaire et la date — pour une longitude terrestre donnée — il est facile de fixer la position du ciel grâce à l’araignée de l’astrolabe, qui comporte déjà la position relative des astres principaux. Sur l’astrolable Lavier, les 4 petits triangles noirs.




Tableau de correspondance entre les longitudes écliptiques (positions spatiales
d’un astre sur l’écliptique), et les dates (c'est-à-dire positions du Soleil au cours de l’année).
 Les signes du Zodiaque, ont ici un rôle spatio-temporel.


Ainsi cette représentation schématique de l’écliptique sous la forme des signes du Zodiaque, acquiert une fonction double en réalisant l’exploit de servir à la fois d’unité temporelle (les mois de l’année), et d’unité spatiale (les graduations de l’écliptique).
En se référant à un tableau de correspondance entre les longitudes écliptiques, les signes du Zodiaque, et les dates, on devine pourquoi un astronome dira par exemple d’un astre, qu’il se trouve à 140° de longitude écliptique, alors que l’astrologue parlera de 2è décan Lion. Pour ce qui est de la date, on le guettera vers le 15 août.

Cette fonction extraordinaire de l’astrolabe lui permet de donner la position des astres recherchés, à l’instant, ou à n’importe quel moment du passé ou du futur.
Nous savons que l'astrolabe peut répondre à deux sortes de problèmes:
- comment est le Ciel à tel instant ?
- à quel moment le Ciel présentera-t-il, ou a-t-il présenté dans mon firmament***, les astres que je cherche ?
Un sujet supplémentaire d'étonnement apparaît ici : à une question posée en termes de temps (nous sommes à un instant donné), l'instrument va répondre en termes d'espace (le Ciel a telle disposition); à une question concernant l'espace (un aspect précis du Ciel), il donnera une réponse temporelle (à tel moment).
On peut dire que l'astrolabe est l'instrument spatio-temporel par excellence.

Je ne sais si nos grands ancêtres, et parmi eux les savants, les sages, les prêtres, avaient une connaissance intuitive de la position des corps célestes à toute heure du nycthémère, mais il faut bien admettre que cette faculté nous est refusée. L’astrolabe, par la magie de sa conception, par le miracle de la nature cosmique, nous offre — à nous pauvres humains quelque peu dégénérés — la merveilleuse possibilité de prendre connaissance de la position des astres les plus importants, à quelque moment que ce soit. Qu’il fasse jour, que le ciel nocturne soit couvert ou trop pollué par les lumières artificielles, l’astrolabe peut nous informer avec précision de la carte du ciel. N’est-ce pas merveilleux ?

Et ceci, parce que les étoiles vont plus vite que le Soleil…

Ainsi, une attention toute particulière, portée sur des éléments peu concernés par notre vie trépidante, comme ceux qui concernent le ciel qui nous entoure, ou le calendrier qui nous emporte, peut nous permettre de nous pencher — avec regret parfois —, sur la condition de l’homme traditionnel, composante légitime du cosmos, qui  partageait de facto un univers serein, familier et complice, jusque dans ses deux paramètres essentiels, le temps et l’espace.




P.S.- Je développerai plus tard, le mode d’emploi de l’astrolabe et son usage en médecine chinoise, lorsqu’elle applique les règles de l’uranologie****.

(Article spécialement dédié à Didier).





* Pour de plus amples détails sur le calcul des années bissextiles voir :

** Chacun sait que les cases de l’écliptique nommées d’après les signes du Zodiaque, ne correspondent plus aujourd’hui avec la constellation réellement présente sur cette partie de l’écliptique. À la suite du phénomène de précession des équinoxes, le décalage est d’environ un signe et demi.
Cependant, ceci n’a aucune importance, car le nom donné aux 12 cases n’intervient pas comme une donnée dans la recherche. On aurait pu, tout aussi bien, attribuer aux cases des numéros, des noms de fleurs, d’oiseaux ou de couleurs, par exemple. Mais il semble que les astrolabistes, aient tenu, au cours des siècles, à conserver ces dénominations obsolètes et inexactes, plus folkloriques que traditionnelles.

*** Firmament : portion de la voûte céleste visible pour l’observateur.

****Voir à ce sujet mes articles :
http://leblogadoch2.blogspot.com/2015/03/luranologie-chinoise-est-de-retour-la.html

samedi 1 juillet 2017

Dans mon jardin, 2017

Chaque saison amène son lot de spectacles naturels, qu'ils soient météorologiques ou biologiques, je ne puis résister au désir de tenter de les pérenniser par la photographie. Et à celui de vous les montrer.

La cigale, sans la fourmi

Cette fois, je suis arrivé trop tard pour voir cette cigale s'extraire de son carcan. Elle vient juste de finir d'en sortir son abdomen et, tout de vert vêtue, commence à se "déplier". C'est surtout au niveau de ses ailes que la transformation va avoir lieu.

Photo DCO

Elle restera plusieurs heures collée contre sa vieille carapace de laquelle elle va tirer son premier repas, en aspirant avec sa trompe le liquide brunâtre qui le tapisse.
Lorsque ses ailes auront atteint la perfection et que sa couleur aura viré du vert au beige/gris, elle s'envolera pour une courte destinée.



Son cycle est curieux : la femelle fécondée — attirée par le chant du mâle, seul capable de donner de la voix —  ira bientôt pondre quelques centaines d'œufs sous l'écorce d'une herbacée ou d'un arbre. La ponte se fait par petits paquets, à raison de un tous les centimètres.
Les larves issues de ces œufs descendront vers la terre où elles s'enfonceront pour des années, et s'y nourriront de la sève puisée dans les racines. On parle d'un séjour de 10 à 17 ans.
Un beau jour d'un début de saison chaude, elles sortent de terre en laissant voir un trou de plus d'1 cm de diamètre. Sous l'aspect de pupes, elles grimpent sur un support et  s'y arrêtent. D'une fente de leur dos elles laissent sortir une cigale comme la nôtre, prête à chanter si elle est mâle, à faire l'amour, et à mourir à la fin de l'été.
On comprend mieux pourquoi la cigale ne se préoccupe pas de faire des provisions pour l'hiver...