Bien que ne comprenant que très peu de choses au monde des chiffres, je tiens à vous faire partager mes réflexions sur cette information dont chacun peut prendre connaissance en fouillant un peu dans les nouvelles du moment.
Il existe, comme vous le savez, dans le monde, des sociétés, des groupes financiers, des holdings, des trusts, extrêmement riches. On peut espérer qu'ils sont arrivés à ce stade par un travail de tous les instants, une application constructive de leurs membres, le développement de bonnes idées de base, et d'autres facteurs positifs et fort honorables.
Mais rien n'est moins sûr.
Leur belle évolution leur a donné de la puissance sur le plan commercial, et leur a permis de créer des structures secondaires, de rassembler un réseau de correspondants, d'experts, de chercheurs, de conseillers, dans de nombreux pays. Et aussi de se rendre maîtres de quelques organismes de presse, de revues professionnelles à la réputation exemplaire en apparence, de tutoyer les hommes de pouvoir dans les différents pays, d'avoir à leur botte les responsables des différents services officiels.
Maintenant, armés et expérimentés, ils vont utiliser tous les moyens à leur disposition pour gagner encore plus d'argent, devenir encore plus puissants.
Intéressons-nous à l'un de ces groupes, qui s'occupe de fabriquer des médicaments, et de les vendre au monde entier. Disposant de tous les éléments que j'ai cités, il peut remplir ces deux fonctions sans coup férir, en étant par-dessus le marché, sûr de s'enrichir encore plus.
Et dans le fond, c'est bien normal de gagner sa vie en aidant les médecins à soigner les gens!
Mais si vous êtes comme moi, naïf et innocent, vous objecterez peut-être, après mûre réflexion :
— Oui, mais si le médicament est inefficace, ou dangereux, ils auront perdu du temps et de l'argent à le fabriquer pour rien?
Là n'est pas la question. Voici ce qu'ils vous répondraient si vous leur exposiez l'argument :
— Aucune importance! Nous le vendrons et même très cher, car nous avons les moyens de faire croire qu'il est efficace.
— Mais un jour on s'apercevra bien qu'il est inefficace et on n'en voudra plus !
— Pas grave, car nous aurons déjà gagné beaucoup d'argent en le vendant, et en jouant avec sa cote sur les marchés boursiers.
— Ah? Mais vos actions vont chuter dès qu'on saura !
— Ça ne fait rien, elles chuteront peut-être, mais pas d'un seul coup : elles décriront une courbe irrégulière, en escalier, très avantageuse pour nous.
Bien sûr, lorsqu'on est un peu au courant de la façon de remplir son portefeuille boursier, on sait que le meilleur moyen pour cela est de suivre de près les évolutions de la côte du produit.
Le bon rendement sera obtenu dans le cas d'une évolution en dents de scie de la courbe, ce qui permet d'acheter au plus bas et de vendre dès que la cote remonte. Et si cela se reproduit sans cesse, les petits bénéfices récoltés à chaque mouvement deviennent considérables, par incrémentation.
— Oui, mais, direz-vous à juste titre, comment savez-vous quand la côte va descendre ou monter, puisque je crois comprendre que tout le secret est dans une petite avance sur les réactions du marché?
— Oh, c'est facile ! C'est nous qui orchestrerons ces variations en publiant dans les médias (qui sont soumises à nos ordres) de fausses nouvelles, en laissant passer les vraies parfois. Nous payons des chercheurs peu regardants pour qu'ils publient des conclusions erronées dans les revues médicales les plus célèbres (qui nous appartiennent), pour qu'ils en disent du bien. Et ensuite nous feindrons d'accepter nous être trompés.
— Et ça fonctionne ?
— Oui, car nous avons de gros arguments financiers, nous disposons aussi d'alliés à notre cause dans les plus grandes instances médicales décisionnelles du monde. Nous seront totalement maîtres du jeu.
Et nous gagnerons 100 fois plus avec les jeux de bourse qu'avec la vente du produit dont nous savons bien sûr qu'il ne sert à rien.
— Et les malades, qui n'ont pas été soignés, et qui en plus ont couru un danger ?
— ... excusez-moi, on m'appelle sur une autre ligne.
Pour illustrer mes propos, voici la courbe très typique de la valeur des actions concernant un produit qui aura permis l'enrichissement d'un laboratoire mondialement célèbre*, et la mort de malades confiants dans le système, mais ignorants de ses dérives mafieuses.
Nous vivons une époque merveilleuse !
*On a cité le chiffre de 200 milliards de gains en bourse, et un marché voyou avec la communauté européenne de 1,2 milliards, pour la livraison du Remdesivir, dont personne ne sait quoi en faire. Les médecins reçoivent depuis une publicité les encourageant à utiliser ce machin, gratuitement (!).
On croit cauchemarder.
Le même mécanisme est en cours avec un prétendu vaccin, "mis au point " en quelques semaines. Le délai habituel pour un vaccin utile est de 5 ans.
Curieux quand même de chercher un vaccin (qui, comme ses semblables, aura forcément un effet iatrogène sur certains individus), un vaccin pour lutter contre une maladie dont la mortalité est de moins de 1% des personnes atteintes.
D'intéressantes informations sur cette affaire — politico-commerciale, mais non scientifique et non médicale — sont données dans la vidéo suivante, à partir de la minute 15 environ.
Le reste n'est pas moins intéressant mais sort du cadre de cet article.
Oups! Je rectifie :
À partir de la minute 15 on parle de la campagne anti-hydroxychloroquine (déjà scandaleuse).
C'est à 18' que le sujet Remdesivir et ses dangers sont abordés.
C'est très vrai, et en écrivant cela peut-être avez vous pensé à cet article du Lancet qui tentait, à partir de faux résultats d'expérimentations, de démolir le professeur Raoult qui pronait un traitement du covid-19 par la chloroquine, médicament qui ne coûte presque rien
RépondreSupprimerOui, Arnaud, bien sûr, mais je pense que tout le monde est au courant de ces magouilles indignes, qui mettent la vie des malades en danger.
SupprimerQue dire des organes de presse, spécialisés ou non, ou des bureaucrates de pouvoir, sans doute bien arrosés, qui, en entrant dans le jeu des laboratoires-voyous, n'hésitent pas à utiliser les moyens les plus machiavéliques.
Jusqu'au jour, où malades, ils se précipitent à Marseille.